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Citations et proverbes



Page 2 - Citations et proverbes théodore de banville

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“Parfois notre grand-mère, - La veuve aux chers soucis, - Qui fut si belle et qui mourut si jeune, - Se montrait sur le seuil, - Le front pâli comme par un long jeûne, - Triste et douce, en grand deuil.”

Théodore de Banville

2117 | 19-05-2013
“Pétrir de belles créatures, - Et sur d'éblouissants amas - De damas - Eparpiller des chevelures.”

Théodore de Banville

1801 | 19-05-2013
“Les jours se sont enfuis, d'un vol mystérieux, - Mais toujours la jeunesse éclatante et vermeille - Fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux.”

Théodore de Banville

1786 | 19-05-2013
“Mieux vaut cent fois jeter nos vers au feu Et fuir bien loin de ce métier de galère.”

Théodore de Banville

1782 | 19-05-2013
“Larges roses de feu, comme on en voit en rêve, - Et dont le fier carmin, d'un sourire enchanté, - Ressemble à du sang frais sur le tranchant d'un glaive.”

Théodore de Banville

1775 | 19-05-2013
“On mourra de dégoût si l'on ne prend pas, de-ci de-là, un grand bain d'azur.”

Théodore de Banville

1775 | 19-05-2013
“Et toi, mon maître, ô fier Ronsard, - Enthousiaste du doux art, - Amant d'Hélène, - Qui jadis nous émerveillais - Sur les roses et les oeillets - De son haleine!”

Théodore de Banville

1772 | 19-05-2013
“Voici les beaux palais où sont les hétaïres, Sveltes lys de Corinthe ou roses de Milet, Qui, dans des bains de marbre, au chant divin des lyres, Lavent leurs corps sans tache avec un flot de lait.”

Théodore de Banville

1772 | 19-05-2013
“Et sur chaque jambe - Un bas céleste et vermeil - Flambe.”

Théodore de Banville

1772 | 19-05-2013
“Cette fois, par exemple, on éclata. Le rire, Sonore et convulsif, orageux et profond, Joyeux jusqu'à l'extase et gai jusqu'au délire, Comme un flot de cristal montait jusqu'au plafond.”

Théodore de Banville

1769 | 19-05-2013
“C'est la sagesse, aimer le vin, - La beauté, le printemps, le printemps divin, - Cela suffit. Le reste est vain.”

Théodore de Banville

1769 | 19-05-2013
“Le front pâli par un long jeûne, - Triste et douce, en grand deuil.”

Théodore de Banville

1767 | 19-05-2013