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Citations et proverbes



Page 4 - Citations et proverbes sidonie gabrielle colette

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“Tu es là, besoin d'écrire? Tu es bien là, nécessaire, membru, typique, tu es toujours là? Je te percute, je tâte ta présence. Quelle méfiance n'eus-je pas de toi - et de moi - durant que je souhaitais avoir fini d'écrire?”

Sidonie Gabrielle Colette

1698 | 19-05-2013
“Pourquoi un homme ne peut-il jamais parler de la sensualité féminine sans dire d'énormes bêtises?”

Sidonie Gabrielle Colette

1698 | 19-05-2013
“Je dis «ce milieu», parce que, tout en l'aimant beaucoup, je me trouve quelquefois étrangère parmi les peintres et leurs amies.”

Sidonie Gabrielle Colette

1698 | 19-05-2013
“Pour essorer les draps qu'on savonnait à la main, nous les tordions, cravatés au col d'un gros robinet de cuivre.”

Sidonie Gabrielle Colette

1696 | 19-05-2013
“J'aime le courage féminin, son ingéniosité à organiser une vie blessée.”

Sidonie Gabrielle Colette

1694 | 19-05-2013
“Jamais la collection n'a été plus jolie, madame; nous avons des tissus imbattables!”

Sidonie Gabrielle Colette

1694 | 19-05-2013
“Ce qui sent comme ça c'est un fût plein, que le printemps moisi dénature et qui de vin tourne en vinaigre,”

Sidonie Gabrielle Colette

1693 | 19-05-2013
“Quand on n'a, de sa vie, été bohème, pourquoi faillir sur la fin à ce qu'on professe le mieux?”

Sidonie Gabrielle Colette

1693 | 19-05-2013
“On ne voit plus de nuques tentantes ni de tempes vaporeuses, on ne voit plus que de petits mufles - mâchoires, menton, bouche, nez - qui prennent, cette année, un véridique et frappant caractère de bestialité.”

Sidonie Gabrielle Colette

1692 | 19-05-2013
“Marie et Anaïs, ravies, essayent les leurs (diadèmes) au milieu d'un cercle admirant de gosses.”

Sidonie Gabrielle Colette

1692 | 19-05-2013
“Tout un bouquet de douces odeurs sombres et tenaces, qui demeuraient longtemps attachées aux paumes.”

Sidonie Gabrielle Colette

1690 | 19-05-2013
“Suis le chemin et ne t'y couche que pour mourir.”

Sidonie Gabrielle Colette

1688 | 19-05-2013