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Citations et proverbes



Page 26 - Citations et proverbes michel eyquem de montaigne

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“Et je trouve par expérience que c'est plutôt l'impatience de l'imagination de la mort qui nous rend impatients de la douleur, et que nous la sentons doublement griève de ce qu'elle nous menace de mourir.”

Michel Eyquem de Montaigne

1554 | 19-05-2013
“L'opinion est une puissante partie, hardie et sans mesure.”

Michel Eyquem de Montaigne

1554 | 19-05-2013
“C'est un plaisir fade et nuisible d'avoir affaire à gens qui nous admirent et fassent place.”

Michel Eyquem de Montaigne

1554 | 19-05-2013
“Certes, c'est un sujet merveilleusement vain, divers et ondoyant, que l'homme. Il est malaisé d'y fonder jugement constant et uniforme.”

Michel Eyquem de Montaigne

1554 | 19-05-2013
“A l'opposé d'un certain autre, j'aimerais mieux, à l'aventure, être le second ou le troisième à Périgueux que le premier à Paris.”

Michel Eyquem de Montaigne

1554 | 19-05-2013
“Je festoye et caresse la vérité en quelque main que je la trouve, et m'y rends alaigrement et luy tends mes armes vaincues, de loing que je la vois approcher.”

Michel Eyquem de Montaigne

1553 | 19-05-2013
“La force de tout conseil gît au temps; les occasions et les matières roulent et changent sans cesse.”

Michel Eyquem de Montaigne

1553 | 19-05-2013
“Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre.”

Michel Eyquem de Montaigne

1553 | 19-05-2013
“L'appréhension, je l'ai lente et embrouillée; mais ce qu'elle tient une fois, elle le tient bien.”

Michel Eyquem de Montaigne

1553 | 19-05-2013
“Nous sommes tous de lopins et d'une contexture si informe et diverse, que chaque pièce, chaque moment fait son jeu. Et se trouve autant de différence de nous à nous-mêmes, que de nous à autrui.”

Michel Eyquem de Montaigne

1553 | 19-05-2013
“... ce n'est pas victoire, si elle ne met fin à la guerre.”

Michel Eyquem de Montaigne

1553 | 19-05-2013
“... quand ce sont injures qui touchent au vif, elles peuvent faire aisément que celui qui allait lâchement à la besogne pour la querelle de son roi, y aille d'une autre affection pour la sienne propre.”

Michel Eyquem de Montaigne

1553 | 19-05-2013