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Citations et proverbes



Page 47 - Citations et proverbes marcel proust

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“Un nom c'est tout ce qui reste bien souvent pour nous d'un être, non pas même quand il est mort mais de son vivant.”

Marcel Proust

1916 | 19-05-2013
“... La vie en changeant fait des réalités avec nos fables.”

Marcel Proust

1916 | 19-05-2013
“Nous fîmes plusieurs brouillon de lettres que nous brûlâmes, puis l'heure du dîner arrivant, nous décidâmes de nous en tenir au dernier, qui nous sembla alors le plus mauvais et nous fît regretter d'avoir brûlé les autres.”

Marcel Proust

1915 | 19-05-2013
“«Mais je vous réponds; c'est moi qui vous le dis», expression par laquelle elle cherchait d'habitude à étayer une assertion jetée un peu au hasard.”

Marcel Proust

1915 | 19-05-2013
“La langue parlée, comme la langue écrite, éprouve de temps en temps le besoin de ces altérations de sens des mots, de ces raffinements d'expression.”

Marcel Proust

1915 | 19-05-2013
“On continue de brûler des cierges et de consulter des médecins.”

Marcel Proust

1914 | 19-05-2013
“C'est d'ailleurs le propre de l'amour de nous rendre à la fois plus défiants et plus crédules.”

Marcel Proust

1914 | 19-05-2013
“Vous verrez, quoique vieux, qu'ils ne se gênent pas devant moi. Ils prétendent que je suis un des leurs. Et pas le moindre respect pour ma caboche blanchie.”

Marcel Proust

1914 | 19-05-2013
“La vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie par conséquent réellement vécue, c'est la littérature. Cette vie qui, en un sens habite à chaque instant chez tous les hommes aussi bien que chez l'artiste.”

Marcel Proust

1913 | 19-05-2013
“Tâchez de garder toujours un morceau de ciel au dessus de votre vie.”

Marcel Proust

1912 | 19-05-2013
“L'impression est pour l'écrivain ce que l'expérimentation est pour le savant, avec cette différence que, chez le savant, le travail de l'intelligence précède, et chez l'écrivain vient après.”

Marcel Proust

1912 | 19-05-2013
“Ces mots avaient marqué dans mon coeur comme sur une carte la place où il fallait enfin souffrir.”

Marcel Proust

1910 | 19-05-2013