Une Citation

Citations et proverbes



Page 42 - Citations et proverbes marcel proust

849 Citations dans cette catégorie.

“On ne comprend rien à un cours d'algèbre.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Théoriquement on sait que la terre tourne, mais en fait on ne s'en aperçoit pas, le sol sur lequel on marche semble ne pas bouger et on vit tranquille. Il en est ainsi du Temps dans la vie.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“La jalousie est aussi un démon qui ne peut être exorcisé, et reviens toujours incarner une nouvelle forme.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Autrefois on rêvait de posséder le coeur de la femme dont on était amoureux; plus tard, sentir qu'on possède le coeur d'une femme peut suffire à vous en rendre amoureux.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Ses paroles n'étaient qu'une réponse affaiblie, docile, presque un simple écho de mes paroles; elle n'était plus que le reflet de ma propre pensée.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Je n'aime plus au monde que quelques églises, deux ou trois livres, à peine davantage de tableaux.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Mais le pauvre M. Calpin avait été complètement mis dedans par la politesse du duc, qui dès la première présentation avait eu l'air de le reconnaître.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Un petit verre de cognac est près de lui, sur une petite table approchée suffisamment pour qu'il puisse le boire et faire éprouver à son gosier une sensation différente et aussi forte sans avoir à se déranger.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Cela lui apprendra à être plus discrète ... Elle n'a pas besoin de venir fourrer son nez partout. Pourquoi se colle-t-elle à nous sans qu'on lui demande?”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“La patience humaine a des bornes, et la mienne est à bout, se dit-il.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Et sans plus s'occuper des deux parentes qui, munies de leurs alpenstocks, allaient faire l'ascension dans la nuit ...”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013
“Quelquefois vos paroles me reviennent comme un écho lointain, comme le son d'une cloche apporté par le vent. J'avais toujours au fond de moi-même la musique de votre voix et la splendeur de vos yeux.”

Marcel Proust

1979 | 19-05-2013