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Citations et proverbes



Page 3 - Citations et proverbes jules amédée barbey d'aurevilly

98 Citations dans cette catégorie.

“La Providence a voulu que, pour les raisons les plus hautes, l'homme aimât la terre où il est né, comme il aime sa mère, fût-elle indigne de son amour.”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1638 | 19-05-2013
“Et avec la fierté d'une bassesse qui était sa Vengeance, elle ajouta: «Je ne suis qu'une fille à cent sous».”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1637 | 19-05-2013
“Ses cheveux, appesantis par la chaleur, croulaient lourdement sur sa nuque dorée, et elle était belle ainsi, déchevelée, négligée, languissante à tenter Satan et à venger Eve!”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1637 | 19-05-2013
“Sait-on bien juste à quel point il faut peu de talent pour réussir?..”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1637 | 19-05-2013
“Avant de choisir le prénom d'un garçon, pensez toujours a la femme qui aura a le murmurer plus tard.”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1637 | 19-05-2013
“Le père Rieulf était, pour elle, ce quelque chose d'inexpliquable et d'absolu qu'on appelle une antipathie.”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1636 | 19-05-2013
“Comme dès que j'aime je suis inquiet, - tout amour est père de l'inquiétude.”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1636 | 19-05-2013
“Le comte est riche. Il peut vivre grandement partout. Pourquoi ne pas filer avec cette belle diablesse (en fait de diablesse, je croyais à celle-là) qui, pour le mieux crocheter, a préféré vivre dans la maison de son amant ...”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1636 | 19-05-2013
“Il avait vécu cette niaise première jeunesse qui fait de l'homme le Jocrisse de ses sensations, et pour qui la première venue qui passe est un magnétisme.”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1633 | 19-05-2013
“Un mystère, c'est la plus profonde chose qu'il y ait pour l'imagination humaine.”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1633 | 19-05-2013
“La Haine est comme l'amour, elle veut voir...”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1627 | 19-05-2013
“Il était étranglé! Les noirs lui avaient jeté autour du cou ce terrible lazo avec lequel on étrangle, au Mexique, les tauraux sauvages.”

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

1624 | 19-05-2013