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Citations et proverbes



Page 6 - Citations et proverbes jorge luis borges

138 Citations dans cette catégorie.

“Dans le rêve de l'homme qui rêvait, le rêvé s'éveilla.”

Jorge Luis Borges

1804 | 19-05-2013
“Le livre est un vague amas de brouillons contradictoires. Je l'ai examiné une fois: au troisième chapitre le héros meurt, au quatrième il est vivant.”

Jorge Luis Borges

1801 | 19-05-2013
“Regarder la rivière qui est de temps et d'eau et se souvenir que le temps est une autre rivière, savoir que nous nous perdons comme la rivière et que les visages passent comme l'eau.”

Jorge Luis Borges

1801 | 19-05-2013
“On dit qu'il n'existe pas de génération d'où ne sortent quatre hommes intègres qui étayent secrètement l'univers et le justifient devant le Seigneur.”

Jorge Luis Borges

1796 | 19-05-2013
“L'univers (que d'autres nomment la Bibliothèque) se compose d'un nombre indéfini, et peut-être infini, de galeries hexagonales, avec au centre de vastes puits d'aération bordés par des ballustrades très basses.”

Jorge Luis Borges

1795 | 19-05-2013
“Je laissai la lune et le soleil jouer avec mon misérable destin.”

Jorge Luis Borges

1795 | 19-05-2013
“Mon humanité consiste à sentir que nous sommes voix de la même pénurie.”

Jorge Luis Borges

1794 | 19-05-2013
“(En parlant d'un vieillard) Un grand nombre d'années l'avaient réduit et poli comme les eaux font une pierre et les générations une maxime.”

Jorge Luis Borges

1794 | 19-05-2013
“Le nombre des pages de ce livre est exactement infini. Aucune n'est la première, aucune n'est la dernière.”

Jorge Luis Borges

1788 | 19-05-2013
“Qui a entrevu l'univers, qui a entrevu les ardents desseins de l'univers ne peut plus penser à un homme, à ses banales félicités ou à ses bonheurs médiocres, même si c'est lui cet homme.”

Jorge Luis Borges

1788 | 19-05-2013
“La vie est trop pauvre pour ne pas être immortelle aussi.”

Jorge Luis Borges

1788 | 19-05-2013
“Il existe une heure de la soirée où la prairie va dire quelque chose. Elle ne le dit jamais. Peut-être le dit-elle infiniment et nous ne l'entendons plus, ou nous l'entendons, mais ce quelque chose est intraduisible comme une musique...”

Jorge Luis Borges

1785 | 19-05-2013