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Citations et proverbes



Page 9 - Citations et proverbes jean giono

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“Enfin, le voilà dans ses armures et fanfreluches complètes de prêtre-guerrier qui frotaille de petites crécelles de bois sec.”

Jean Giono

1789 | 19-05-2013
“Je crois que ce qui importe c'est d'être un joyeux pessimiste.”

Jean Giono

1789 | 19-05-2013
“Il n'y avait personne, comme de bien entendu.”

Jean Giono

1786 | 19-05-2013
“Tu te crois plus forte qu'un de mes vieux hussards, se disait Angélo. Ils mangent de la polenta au vin quand ils sont dans les coups de chien.”

Jean Giono

1786 | 19-05-2013
“Et, barca, comme aurait dit Langlois, car jamais plus on ne vit Langlois à l'église, ni pour des messes, ni pour des vêpres, ni pour rien.”

Jean Giono

1780 | 19-05-2013
“Angélo était un soldat de métier et, en fourrageur, il avait de l'instinct.”

Jean Giono

1778 | 19-05-2013
“C'est à peine éclairé, mais j'y vois assez pour me rendre compte qu'on a changé de crémerie.”

Jean Giono

1778 | 19-05-2013
“La chaleur pétillait sur les tuiles. Le soleil n'avait plus de corps; il était frotté comme une craie aveuglante sur tout le ciel; les collines étaient tellement blanches qu'il n'y avait plus d'horizon.”

Jean Giono

1778 | 19-05-2013
“Qui n'a pas rêvé, à un moment donné, d'effacer la vie? ... L'embêtant c'est que la vie, il faut la vivre à la file. Ca commence et, à partir de là, ça tire du long jusqu'à la fin. On ne peut pas choisir.”

Jean Giono

1778 | 19-05-2013
“C'était un bouquet d'arbres aigus, trop fuselés pour garder la neige. Ils étaient luisants d'un beau vert gras, épais et serrés de feuillages comme des colonnes.”

Jean Giono

1777 | 19-05-2013
“Cette femme faisait son petit dans les brousailles comme une laie.”

Jean Giono

1774 | 19-05-2013
“L'été est là à gémir qu'il va mourir.”

Jean Giono

1773 | 19-05-2013