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Citations et proverbes



Page 3 - Citations et proverbes hippolyte adolphe taine

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“Un peuple reçoit toujours l'empreinte de la contrée qu'il habite.”

Hippolyte Adolphe Taine

1558 | 19-05-2013
“Ce sont des hommes abstraits, qui ne sont d'aucun siècle et d'aucun pays, pures entités écloses sous la baguette métaphysique.”

Hippolyte Adolphe Taine

1558 | 19-05-2013
“Au sortir de cette obscurité, la pleine lumière a été pour ses yeux une pluie éblouissante; il l'a sentie comme un flamboiement d'éclair, comme une illumination magique, ou comme une gerbe de dards.”

Hippolyte Adolphe Taine

1554 | 19-05-2013
“On s'était fait une langue de convention, un style académique, une mythologie de parade, une versification factice, un vocabulaire vérifié, approuvé, extrait des bons auteurs.”

Hippolyte Adolphe Taine

1554 | 19-05-2013
“Le meilleur fruit de notre science est la résignation froide, qui, pacifiant et préparant l'âme, réduit la souffrance à la douleur du corps.”

Hippolyte Adolphe Taine

1554 | 19-05-2013
“En habits est vestes de soie feuille morte, rose tendre, bleu céleste, agrémentés de broderies et galonnés d'or, les hommes sont aussi parés que les femmes.”

Hippolyte Adolphe Taine

1551 | 19-05-2013
“Il se sent esseulé dans une contrée inconnue, livré à des dangers qu'il ignore et auxquels il ne peut parer.”

Hippolyte Adolphe Taine

1550 | 19-05-2013
“Shakespeare qui, au premier coup d'oeil, semble une merveille tompbée du ciel et comme un aérolithe arrivé d'un autre monde ...”

Hippolyte Adolphe Taine

1550 | 19-05-2013
“Ils n'avaient pas besoin de toutes les petites aisances dont nous ne savons nous passer aujourd'hui.”

Hippolyte Adolphe Taine

1550 | 19-05-2013
“La vie présente n'est qu'un exil: tournons nos regards vers la patrie céleste.”

Hippolyte Adolphe Taine

1549 | 19-05-2013
“Trois sources différentes contribuent à produire cet état moral élémentaire, la race, le milieu et le moment.”

Hippolyte Adolphe Taine

1547 | 19-05-2013
“Quand les hommes sont trop malheureux, ils deviennent excitables, comme les malades et les prisonniers.”

Hippolyte Adolphe Taine

1547 | 19-05-2013