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Citations de Georges Brassens
Page 7 - Citations et proverbes georges brassens
131 Citations dans cette catégorie.
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“Pour reconnaîtreQue l'on n'est pas intelligent,Il faudrait l'être.”
Georges Brassens
1805
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17-05-2013
“Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'fouttant pas mal du regard obliqueDes passants honnêtes.”
Georges Brassens
1792
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19-05-2013
“Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent.”
Georges Brassens
1790
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19-05-2013
“Avant de chanter Ma vie, de faire des Harangues, Dans ma gueule de bois J'ai tourné sept fois Ma langue...”
Georges Brassens
1788
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19-05-2013
“Le pluriel ne vaut rien à l'homme et sitôt qu'on Est plus de quatre on est une bande de cons.”
Georges Brassens
1786
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19-05-2013
“O vous, les arracheurs de dents Tous les cafards, les charlatans Les prophètes Comptez plus sur oncle Archibald Pour payer les violons du bal A vos fêtes.”
Georges Brassens
1786
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19-05-2013
“Dieu, s'il existe, il exagère.”
Georges Brassens
1786
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16-05-2013
“Le veuf toujours en deuil, le veuf Inconsolable, inconsolable.”
Georges Brassens
1785
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19-05-2013
“Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent.”
Georges Brassens
1785
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19-05-2013
“Aucune idée sur terre n'est digne d'un trépas.”
Georges Brassens
1785
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16-05-2013
“Comme jadis a fait un roi, Il serait bien fichu, je crois, De donner le trône et le reste Contre un seul cheval camarguais Bancal, vieux, borgne, fatigué, C'est un modeste.”
Georges Brassens
1784
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19-05-2013
“Ses fluctuat nec mergitur C'était pas de la littérature, N'en déplaise aux jeteurs de sort, Aux jeteurs de sort, Son capitaine et ses matelots N'étaient pas des enfants de salauds, Mais des amis franco de port, Des copains d'abord.”
Georges Brassens
1784
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19-05-2013
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