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Citations et proverbes



Page 10 - Citations et proverbes georges bernanos

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“Il est vrai qu'alors c'était moi qui me sentais tomber: je cherchais une aide, un appui, une main fraternelle.”

Georges Bernanos

1841 | 19-05-2013
“On peut faire très sérieusement ce qui vous amuse, les enfants nous le prouvent tous les jours... Exactement comme on peut faire avec bonne humeur ce qui vous ennuie...”

Georges Bernanos

1835 | 19-05-2013
“Je ne suis pas un écrivain. La seule vue d'une feuille de papier blanc me harasse l'âme. L'espèce de recueillement physique que m'impose un tel travail m'est si odieux que je l'évite autant que je puis.”

Georges Bernanos

1832 | 19-05-2013
“Et ce chaume croulant, au milieu des belles tuiles vernies, c'est encore un autre mendiant, un autre homme libre.”

Georges Bernanos

1832 | 19-05-2013
“Les déroutes ne se rachètent que par des victoires, la paresse et la lâcheté que par un élan de courage et d'audace.”

Georges Bernanos

1831 | 19-05-2013
“Seulement, un litre, dame! lorsqu'on a déjà son compte! J'ai dû m'arrêter de biberonner, à bout de souffle.”

Georges Bernanos

1830 | 19-05-2013
“Si doux, si tranquille, si respectueux! A Grenoble, les belles dames de Sainte-Eulalie et de Saint-Marc, elles vous l'auraient gâté, bichonné; ça rapporte gros à l'évêque, allez, des prêtres comme ça.”

Georges Bernanos

1830 | 19-05-2013
“Ce qui rend la corruption, ou même la simple médiocrité des élites, si funeste, c'est la solidarité qui lie entre eux tous leurs membres, corrompus ou non corrompus, dans la défense du prestige commun.”

Georges Bernanos

1830 | 19-05-2013
“Son corps maigre flotte dans la chemise et à travers la batiste apparaît sur sa poitrine et jusqu'à ses flancs la répugnante morsure des ventouses.”

Georges Bernanos

1829 | 19-05-2013
“Sur ces étonnantes paroles, il sortit, laissant M. de Clergerie béant.”

Georges Bernanos

1829 | 19-05-2013
“L'admirable à-propos des mendiants.”

Georges Bernanos

1829 | 19-05-2013
“La division des riches et des pauvres, ça doit répondre à quelque grande loi universelle. Un riche, aux yeux de l'Eglise, c'est le protecteur du pauvre, son frère aîné, quoi!”

Georges Bernanos

1828 | 19-05-2013