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Citations et proverbes



Page 3 - Citations et proverbes fiodor mikhaïlovitch dostoïevski

59 Citations dans cette catégorie.

“J'ai gâché ma vie par dissipation morale seul dans mon coin.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1681 | 19-05-2013
“Comme il était à prévoir, il délaissa complètement l'enfant qu'il avait eu d'Adélaïde Ivanovna, non par animosité ou par rancune conjugale, mais simplement parce qu'il l'avait tout à fait oublié.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1676 | 19-05-2013
“C'est le désespoir qui recèle les voluptés les plus ardentes.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1667 | 19-05-2013
“On se représente difficilement jusqu'à quel point la nature humaine peut être dénaturée.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1667 | 19-05-2013
“Il est des instants, vous arrivez à des instants, où le temps s'arrête soudain et le présent devient éternité.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1662 | 19-05-2013
“Un homme ment-il lorsqu'il déclare ouvertement: «Je mens»?”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1662 | 19-05-2013
“Le plus terrible dans la beauté n'est pas d'être effrayante, mais d'être mystérieuse. En elle Dieu lutte avec le diable, et le champ de bataille se trouve dans le coeur de l'homme.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1661 | 19-05-2013
“Un homme doué d'une conscience est-il capable de s'estimer un tant soit peu?”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1660 | 19-05-2013
“Je ne vous souhaite pas beaucoup de bonheur: vous vous ennuieriez. Je ne vous souhaite pas non plus de malheur; mais à la suite de la philosophie populaire, je répète simplement vivez davantage et tâchez de ne pas trop vous ennuyer.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1660 | 19-05-2013
“Le socialiste chrétien est plus dangereux que le socialiste athée.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1660 | 19-05-2013
“Le lendemain matin, j'allai me promener dans la ville, je rencontre un soldat ivre festonnant sur le trottoir pavé en bois.”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1655 | 19-05-2013
“Le ciel était si étoilé, un ciel si lumineux, qu'à lever les yeux vers lui on devait malgré soi se demander: se peut-il que sous un pareil ciel vivent des hommes irrités et capricieux?”

Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski

1654 | 19-05-2013