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Citations et proverbes



Page 6 - Citations et proverbes emile zola

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“Ce qui l'immobilisait, c'était l'aspect de la salle, au matin de «la nuit de charrette», ainsi que les architectes nomment cette nuit suprême de travail.”

Emile Zola

1953 | 19-05-2013
“L'histoire de la littérature et de l'art est une sorte de martyrologe qui conte les huées dont on a couvert chacune des manifestations nouvelles de l'esprit humain.”

Emile Zola

1950 | 19-05-2013
“Le romancier est fait d'un observateur et d'un expérimentateur.”

Emile Zola

1945 | 06-05-2010
“Ces dames auxiliaires qui avaient toutes disparu, précisément le matin où l'on aurait eu besoin d'elles.”

Emile Zola

1943 | 19-05-2013
“Gervaise pourtant venait de commencer un bonnet appartenant à madame Boche, qu'elle voulait soigner. Elle avait préparé de l'amidon cuit pour le remettre à neuf.”

Emile Zola

1943 | 19-05-2013
“Celui qui ne pouvait payer, donnait son corps et son temps, taillable et corvéable à merci, obligé de labourer, moissonner, faucher, façonner la vigne, curer les fossés du château, faire et entretenir les routes.”

Emile Zola

1937 | 19-05-2013
“Puis, des souffles puants, des haleines de marée gâtée, passèrent sur lui avec de grandes nausées. Ce fut un détraquement lent, un ennui vague qui tourna à une vive surexcitation nerveuse.”

Emile Zola

1937 | 19-05-2013
“Elle gardait son sourire, développant son torse superbe, qu'on sentait rouler et vivre, sous sa mince camisole mal attachée.”

Emile Zola

1936 | 19-05-2013
“A minuit, elle s'acharnait sur les petits fours, avec le désespoir muet de ne pouvoir les finir.”

Emile Zola

1936 | 19-05-2013
“Elle avait entendu conter que certaines maladies laissent derrière elles la folie pour guérison.”

Emile Zola

1936 | 19-05-2013
“Derrière, à chaque coup, sa robe de mérinos noir se levait légèrement; tandis que les baleines de son corset marquaient sur l'étoffe tendue du corsage.”

Emile Zola

1936 | 19-05-2013
“L'avenue plate s'étendait, avec ses lignes de grands arbres et de maisons basses, ses larges trottoirs.”

Emile Zola

1936 | 19-05-2013