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Citations et proverbes



Page 5 - Citations et proverbes emile zola

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“Il leva une dernière fois les yeux, il regarda les Halles ... L'énorme charpente de fonte se noyait, bleuissait, n'était plus qu'un profil sombre sur les flammes d'incendie du levant.”

Emile Zola

1956 | 19-05-2013
“Après avoir marqué ses quatre mètres sur le trottoir avec des bouchons de paille, elle pria Florent de lui passer les légumes, bottes par bottes.”

Emile Zola

1954 | 19-05-2013
“Ma définition d'une oeuvre d'art serait, si je la formulais: «Une oeuvre d'art est un coin de la création vu à travers un tempérament».”

Emile Zola

1953 | 19-05-2013
“Ce mari commode, qui n'avait pas voulu voir le cocuage chez lui, rigolait à mort de la paire de cornes de Poisson.”

Emile Zola

1953 | 19-05-2013
“Une langue est une logique.”

Emile Zola

1953 | 19-05-2013
“Les gouvernements suspectent la littérature parce qu'elle est une force qui leur échappe.”

Emile Zola

1950 | 19-05-2013
“C'était l'engourdissement mortel, inévitable, de la routine.”

Emile Zola

1950 | 19-05-2013
“Oui, elle était en voiture, et une toilette d'un chic ! ... C'est elle qui m'a envoyé une risette avec son gant... Elle a fait un vicomte, je crois.”

Emile Zola

1949 | 19-05-2013
“Et il y avait encore, pour les filles restées sages comme Nana, un mauvais air à l'atelier, l'odeur de bastringue et de nuits peu catholiques, apportée par les ouvrières coureuses.”

Emile Zola

1946 | 19-05-2013
“C'était une cacophonie de souffles infects, depuis les lourdeurs molles des pâtes cuites, du gruyère et du hollande, jusqu'aux pointes alcalines de l'olivet.”

Emile Zola

1945 | 19-05-2013
“Oui, trois jours sans manger. Quand le vent d'est les poussa enfin à terre, l'un d'eux était si affaibli, qu'il resta sur le sable toute une matinée. Il mourut le soir.”

Emile Zola

1943 | 19-05-2013
“Malgré le froid vif du dehors, l'air alourdi avait une chaleur vivante, cet étouffement chaud des chambrées les mieux tenues, qui sentent le bétail humain.”

Emile Zola

1942 | 19-05-2013