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Citations et proverbes



Page 16 - Citations et proverbes emile zola

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“Dans ces batailles de l'argent, sourdes et lâches, où l'on éventre les faibles, sans bruit, il n'y a plus de liens, plus de parenté, plus d'amitié: c'est l'atroce loi des forts, ceux qui mangent pour ne pas être mangés.”

Emile Zola

1767 | 19-05-2013
“Puis, descendus de la taille, ils s'accroupirent, les coudes aux flancs, les fesses sur leurs talons, dans cette posture si habituelle aux mineurs, qu'ils la gardent même hors de la mine, sans éprouver le besoin d'un pavé ou d'une poutre pour s'asseoir.”

Emile Zola

1767 | 19-05-2013
“Une oeuvre d'art est un coin de la création vu à travers un tempérament.”

Emile Zola

1767 | 19-05-2013
“Les romans sont surtout un aliment empoisonné servi aux curiosités malsaines de la foule.”

Emile Zola

1766 | 19-05-2013
“Une école n'est jamais qu'une halte dans la marche de l'art, de même qu'une royauté est souvent une halte dans la marche des sociétés.”

Emile Zola

1766 | 19-05-2013
“On vous enrégimente dans cette fameuse Internationale, cette armée de brigands dont le rêve est la destruction de la société.”

Emile Zola

1766 | 19-05-2013
“Ses doigts se crispaient, avec des égratignements de griffes.”

Emile Zola

1766 | 19-05-2013
“Puisqu'il ne pouvait accepter la subvention du royaume d'Italie, l'idée vraiment touchante du denier de Saint-Pierre aurait dû sauver le Saint-Siège de tout souci matériel.”

Emile Zola

1766 | 19-05-2013
“Il n'y a personne qui soit resté trois jours sans manger. Quand on dit: «Un tel crève de faim», c'est une façon de parler. On mange toujours plus ou moins...”

Emile Zola

1766 | 19-05-2013
“Bah! affaire d'atavisme, ce sont les siècles d'éducation et de croyance, derrière vous, qui protestent.”

Emile Zola

1766 | 19-05-2013
“La main qui punit doit être impeccable, car si la justice vient à se tromper, le lien social lui-même se dénoue.”

Emile Zola

1765 | 19-05-2013
“Bientôt une sorte de griserie lui vint de toute cette terre remuée, qui exhalait une odeur forte, l'odeur des coins humides où fermentent les germes.”

Emile Zola

1765 | 19-05-2013