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Citations et proverbes



Page 16 - Citations et proverbes emile zola

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“La pluie devenant sérieuse, ils avisèrent, au fond d'un bouquet d'arbres, une sorte de chalet, un petit café-restaurant, où ils coururent se réfugier.”

Emile Zola

1849 | 19-05-2013
“S'il continuait à s'instruire, dévorant tout, le manque de méthode rendait l'assimilation très lente, une telle confusion se produisait, qu'il finissait par savoir des choses qu'il n'avait pas comprises.”

Emile Zola

1849 | 19-05-2013
“Un vin couleur de sang qu'on aurait coupé au couteau.”

Emile Zola

1849 | 19-05-2013
“A mon avis, vous ne pouvez pas dire que vous avez vu quelque chose à fond si vous n'en avez pas pris une photographie.”

Emile Zola

1849 | 19-05-2013
“Dans ces batailles de l'argent, sourdes et lâches, où l'on éventre les faibles, sans bruit, il n'y a plus de liens, plus de parenté, plus d'amitié: c'est l'atroce loi des forts, ceux qui mangent pour ne pas être mangés.”

Emile Zola

1848 | 19-05-2013
“C'était, à gauche de la fenêtre, la frise de chêne qu'ils avaient déplacée, puis remise, pour cacher, dessous, la montre et les dix mille francs.”

Emile Zola

1848 | 19-05-2013
“Vous savez, j'en ai encore le coeur gros, qu'on se soit quitté pour des foutaises.”

Emile Zola

1848 | 19-05-2013
“Puis, descendus de la taille, ils s'accroupirent, les coudes aux flancs, les fesses sur leurs talons, dans cette posture si habituelle aux mineurs, qu'ils la gardent même hors de la mine, sans éprouver le besoin d'un pavé ou d'une poutre pour s'asseoir.”

Emile Zola

1848 | 19-05-2013
“On n'épouse jamais sa maîtresse ... Ces sortes de mariages sont exquis, mais ils tournent toujours mal: on s'adore pendant quelques années et l'on se déteste le restant de ses jours.”

Emile Zola

1848 | 19-05-2013
“Et le vin coulait autour de la table comme l'eau coule à la Seine. Un vrai ruisseau lorsqu'il a plu et que la terre a soif.”

Emile Zola

1848 | 19-05-2013
“L'argent, jusqu'à ce jour, était le fumier dans lequel poussait l'humanité de demain; l'argent, empoisoneur et destructeur, devenait le ferment de toute végétation sociale, le terreau nécessaire aux grands travaux qui facilitent l'existence.”

Emile Zola

1848 | 19-05-2013
“Je n'ai guère de souci de beauté ni de perfection. Je me moque des grands siècles. Je n'ai souci que de vie, de lutte, de fièvre. Je suis à l'aise parmi notre génération.”

Emile Zola

1847 | 19-05-2013