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Citations et proverbes



Page 14 - Citations et proverbes emile zola

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“Jeunesse, jeunesse! sois humaine, sois généreuse. Si même nous nous trompons, sois avec nous, lorsque nous disons qu'un innocent subit une peine effroyable, et que notre coeur révolté s'en brise d'angoisse.”

Emile Zola

1802 | 19-05-2013
“Une école n'est jamais qu'une halte dans la marche de l'art, de même qu'une royauté est souvent une halte dans la marche des sociétés.”

Emile Zola

1802 | 19-05-2013
“A mon avis, vous ne pouvez pas dire que vous avez vu quelque chose à fond si vous n'en avez pas pris une photographie.”

Emile Zola

1802 | 17-05-2013
“La paix est le résultat du règne sage et profond dont nous recueillons les fruits, de même que le génie de la guerre dicta ce poème épique qui constitue le premier Empire.”

Emile Zola

1801 | 19-05-2013
“La liberté est une; on ne peut la couper par morceaux et la distribuer en rations, ainsi qu'une aumône.”

Emile Zola

1800 | 19-05-2013
“On n'épouse pas seulement la fille, on épouse la mère souvent, et c'est bien désagréable, quand celle-ci s'impose dans le ménage.”

Emile Zola

1800 | 19-05-2013
“Dans ces batailles de l'argent, sourdes et lâches, où l'on éventre les faibles, sans bruit, il n'y a plus de liens, plus de parenté, plus d'amitié: c'est l'atroce loi des forts, ceux qui mangent pour ne pas être mangés.”

Emile Zola

1800 | 19-05-2013
“Dans la cour vitrée, une équipe d'emballeurs clouaient des caisses.”

Emile Zola

1800 | 19-05-2013
“Je vais aux Halles, je vous déballerai avec mes légumes.”

Emile Zola

1800 | 19-05-2013
“Il n'aimait pas les corbeaux ... Mais un mariage sans messe, on avait beau dire, ce n'était pas un mariage.”

Emile Zola

1800 | 19-05-2013
“Cependant, le ménage vivait très heureux, au milieu des bavardages, des histoires qui couraient sur les complaisances du mari et sur les amants de la femme.”

Emile Zola

1800 | 19-05-2013
“Souvent l'estomac tenaillé par la faim, il n'osait mordre aux fruits éclatants qui pendaient des arbres; il avait peur de ces baies aux reflets métalliques, dont les bosses noueuses suaient le poison.”

Emile Zola

1800 | 19-05-2013