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Citations et proverbes



Page 10 - Citations et proverbes charles de secondat, baron de montesquieu

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“La raison pourquoi les sots réussissent ordinairement dans leurs entreprises, c'est que, ne sachant et ne voyant jamais quand ils sont importuns, ils ne s'arrêtent jamais. Or, il n'y a pas d'homme assez sot pour ne savoir pas dire: «Donnez-moi cela.»”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1658 | 19-05-2013
“Il est court, cet ouvrage, mais c'est l'ouvrage de Tacite, qui abrégeait tout, parce qu'il voyait tout.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1657 | 19-05-2013
“Chacune des deux religions pouvait se croire la plus parfaite; la calviniste se jugeant plus conforme à ce que Jésus-Christ avait dit, et la luthérienne à ce que les apôtres avaient fait.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1656 | 19-05-2013
“Dans un Etat, c'est-à-dire dans une société où il y a des lois, la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir, et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1656 | 19-05-2013
“Les mauvais effets qui en germent à milliers.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1655 | 19-05-2013
“On peut juger de la couleur de la peau par celle des cheveux qui, chez les Egyptiens, les meilleurs philosophes du monde, étaient d'une si grande conséquence, qu'ils faisaient mourir tous les hommes roux qui leur tombaient entre les mains.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1655 | 19-05-2013
“L'esclavage proprement dit est l'établissement d'un droit qui rend un homme tellement propre à un autre homme, qu'il est le maître absolu de sa vie et de ses biens.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1654 | 19-05-2013
“La quantité des marchandises et denrées croît par une augmentation de commerce; l'augmentation de commerce, par une augmentation d'argent qui arrive successivement ...”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1654 | 19-05-2013
“Il y avait dans la Grèce trois peuples considérables: les Etoliens, les Achaïens et les Béotiens; c'étaient des associations de villes libres, qui avaient des assemblées générales et des magistrats communs.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1654 | 19-05-2013
“La politique est une lime sourde et qui parvient lentement à sa fin.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1654 | 19-05-2013
“A voir le climat affreux de la Moscovie, on ne croirait jamais que ce fût une peine d'en être exilé.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1653 | 19-05-2013
“C'est une chose très délicate de bien poser le point auquel les lois de la nature s'arrêtet, et où les lois civiles commencent.”

Charles de Secondat, baron de Montesquieu

1653 | 19-05-2013