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Citations de Charles Baudelaire
Page 30 - Citations et proverbes charles baudelaire
654 Citations dans cette catégorie.
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“L'homme ivre d'une ombre qui passe Porte toujours le châtiment D'avoir voulu changer de place.”
Charles Baudelaire
1861
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19-05-2013
“Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones, Je fermerai partout portières et volets.”
Charles Baudelaire
1861
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19-05-2013
“L'âge était venu du travail et des distractions forcées. Il lui fallait endosser le premier harnais de la vie et se préparer aux études classiques.”
Charles Baudelaire
1861
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19-05-2013
“Quand la nature, grande en ses desseins cachés,De toi se sert, ô femme, ô reine des péchés,- De toi, vil animal, - pour pétrir un génie?”
Charles Baudelaire
1861
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19-05-2013
“Il y a toujours dans le deuil du pauvre quelque chose qui manque, une absence d'harmonie qui le rend plus navrant. Il est contraint de lésiner sur sa douleur. Le riche porte la sienne au grand complet.”
Charles Baudelaire
1861
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19-05-2013
“Tu te plais à plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.”
Charles Baudelaire
1860
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19-05-2013
“L'homme est aveugle, sourd, fragile, comme un mur Qu'habite et ronge un insecte !”
Charles Baudelaire
1860
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19-05-2013
“L'extase universelle des choses ne s'exprime par aucun bruit; les eaux elles-mêmes sont comme endormies.”
Charles Baudelaire
1859
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19-05-2013
“Et le ver rongera ta peau comme un remords.”
Charles Baudelaire
1859
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19-05-2013
“De féroces oiseaux perchés sur leur pâture Détruisaient avec rage un pendu déjà mûr, Chacun plantant, comme un outil, son bec impur Dans tous les coins saignants de cette pourriture.”
Charles Baudelaire
1856
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19-05-2013
“Comme tu me plairais, ô nuit! sans ces étoiles Dont la lumière parle un langage connu! Car je cherche le vide, et le noir, et le nu!”
Charles Baudelaire
1856
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19-05-2013
“Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Tellement vous aimez le carnage et la mort, O lutteurs éternels, O frères implacables!”
Charles Baudelaire
1855
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19-05-2013
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