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Citations et proverbes



Page 13 - Citations et proverbes charles baudelaire

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“La femme est fatalement suggestive; elle vit d'une autre vie que la sienne propre, elle vit spirituellement dans les imaginations.”

Charles Baudelaire

2205 | 19-05-2013
“Je sais que vous gardez une place au PoèteDans les rangs bienheureux des saintes Légions,Et que vou l'invitez à l'éternelle fêteDes Trônes, des Vertus, des Dominations.”

Charles Baudelaire

2205 | 19-05-2013
“La femme, esclave vile, orgueilleuse et stupide Sans rire s'adorant et s'aimant sans dégoût; L'homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide, Esclave de l'esclave et ruisseau dans l'égout.”

Charles Baudelaire

2204 | 19-05-2013
“Je sucerai, pour noyer ma rancoeur, Le népenthès et la bonne ciguë Aux bouts charmants de cette gorge aiguë Qui n'a jamais emprisonné de coeur.”

Charles Baudelaire

2197 | 19-05-2013
“L'air est plein du frisson des choses qui s'enfuient.”

Charles Baudelaire

2196 | 17-05-2013
“Indigne compagnon de ma triste vie, vous ressemblez au public, à qui il ne faut jamais présenter des parfums délicats qui l'exaspèrent, mais des ordures soigneusement choisies.”

Charles Baudelaire

2195 | 19-05-2013
“Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or!”

Charles Baudelaire

2191 | 19-05-2013
“Quoi de plus absurde que le Progrès, puisque l'homme, comme cela est prouvé par le fait journalier, est toujours semblable et égal à l'homme, c'est-à-dire toujours à l'état sauvage.”

Charles Baudelaire

2191 | 19-05-2013
“Le diable, je suis bien obligé d'y croire, car je le sens en moi !”

Charles Baudelaire

2191 | 17-05-2013
“La mythologie est un dictionnaire d'hiéroglyphes vivants, hiéroglyphes connus de tout le monde.”

Charles Baudelaire

2184 | 19-05-2013
“J'ai cherché dans l'amour un sommeil oublieux; Mais l'amour n'est pour moi qu'un matelas d'aiguilles Fait pour donner à boire à ces cruelles filles!”

Charles Baudelaire

2183 | 19-05-2013
“Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts! J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours.”

Charles Baudelaire

2181 | 19-05-2013