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Citations et proverbes



Page 6 - Citations et proverbes alphonse daudet

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“La nuit tombe, vous frôle en passant de son aile noire toute humide.”

Alphonse Daudet

1823 | 16-05-2013
“Jacques se met à border le lit activement, avec un soin de vieille fille.”

Alphonse Daudet

1822 | 19-05-2013
“Ah! le décor a beau changer, la pièce sera toujours la même: vanité, bassesse, aptitude aux courbettes, courtisanesque besoin de s'avilir, de s'aplatir!”

Alphonse Daudet

1819 | 19-05-2013
“Quelqu'un habitait là pourtant. Une petite fumée bleuâtre, montant de la cheminée de brique qui dépassait un peu le mur, trahissait une existence cachée, discrète et triste, comme la fumée de ce feu de pauvre.”

Alphonse Daudet

1817 | 19-05-2013
“Si le tourment empêche le sommeil les larmes sont un narcotique.”

Alphonse Daudet

1816 | 19-05-2013
“Après quoi, je descendis lentement, regardant attentif autour de moi, comme pour emporter dans mes yeux l'image, toute l'image, de ces lieux que je ne devais plus jamais revoir.”

Alphonse Daudet

1816 | 19-05-2013
“A ce grand savant, à ce diagnostiqueur infaillible parlant de sa mort avec cette assurance tranquille, il n'y avait rien à répondre que d'inutiles banalités.”

Alphonse Daudet

1816 | 19-05-2013
“Après cinq mois d'asphyxie morale, je humais à pleines narines l'air pur et fort de la vie honnête ...”

Alphonse Daudet

1816 | 19-05-2013
“Que de gens sur la bibliothèque desquels on pourrait écrire: «usage externe», comme sur les fioles de pharmacie!”

Alphonse Daudet

1816 | 19-05-2013
“Tout est gris, noir ou blanc, dans une neutralité de teinte qui accompagne les choses rêvées plutôt que les choses vues.”

Alphonse Daudet

1813 | 19-05-2013
“Mon oncle avait un grand verger Et moi, j'avais une cousine.”

Alphonse Daudet

1812 | 19-05-2013
“Les ailes de son moulin allaient toujours leur train comme devant.”

Alphonse Daudet

1812 | 19-05-2013