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Citations et proverbes



Page 33 - Citations et proverbes alfred de musset

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“Il me manque le repos, la douce insouciance qui fait de la vie un miroir où tous les objets se peignent un instant et sur lequel tout glisse.”

Alfred de Musset

1807 | 19-05-2013
“Mais tout à coup j'ai vu dans la nuit sombre Une forme glisser sans bruit.”

Alfred de Musset

1807 | 19-05-2013
“Quand j'ai connu la Vérité, - J'ai cru que c'était une amie; - Quand je l'ai comprise et sentie, - J'en étais déjà dégoûté.”

Alfred de Musset

1805 | 19-05-2013
“Je veux dire ceci: que l'amour est immortellement jeune, et que les façons de l'exprimer sont et demeureront éternellement vieilles.”

Alfred de Musset

1803 | 19-05-2013
“Aveugle, inconstante, ô fortune! - Supplice enivrant des amours! - Ote-moi, mémoire importune, - Ote-moi ces yeux que je vois toujours.”

Alfred de Musset

1803 | 19-05-2013
“Ah ! celui-là vit mal qui ne vit que pour soi !”

Alfred De Musset

1803 | 17-05-2013
“Il n'en faut pas douter, l'amour est un mystère inexplicable.”

Alfred de Musset

1802 | 19-05-2013
“Est-ce donc une monnaie que votre amour, pour qu'il puisse passer ainsi de mains en mains jusqu'à la mort ? Non, ce n'est pas même une monnaie; car la plus mince pièce d'or vaut mieux que vous, et dans quelques mains qu'elle passe elle garde son effigie.”

Alfred de Musset

1802 | 19-05-2013
“Là, dans l'arrière-boutique, où se faisait en secret la grande et la petite usure, venait tous les jours l'étudiant pauvre et sans souci, amoureux peut-être, emprunter à énorme intérêt quelques pièces ...”

Alfred de Musset

1802 | 19-05-2013
“Je vis d'abord sur moi des fantômes étranges Traîner de longs habits; Je ne sais si c'étaient des femmes ou des anges! Leurs manteaux m'inondaient avec leurs belles franges De nacre et de rubis.”

Alfred de Musset

1802 | 19-05-2013
“Qu'as-tu fait de ta vie et de ta liberté? Crois-tu donc qu'on oublie autant qu'on le souhaite? Crois-tu qu'en te cherchant tu te retrouveras?”

Alfred de Musset

1802 | 19-05-2013
“Un petit air de doute et de mélancolie,Vous le savez, Ninon, vous rend bien plus jolie ...”

Alfred de Musset

1802 | 19-05-2013