Je n'avais pas intégré le fait qu'on pouvait être local avant d'être national. Je suis tombé des nues. Il m'a fallu plus de quatre ans à ce poste pour être encore surpris. Je n'ai pas d'explication et je ne constitue pas l'équipe en fonction de l'identité géographique des joueurs, mais parce que je pense que c'est bien à ce moment-là. C'est comme le racisme. Pour moi, il n'y a pas de joueurs marseillais, lyonnais, parisiens, blancs ou noirs. Il y a de bons joueurs, basta, et je fais jouer ceux que je considère les meilleurs.