Le plus dur c'est de savoir qu'il y a de la bonté chez les gens. La plupart du temps elle reste enfermée en eux. C'est peut être parce que l'on a peur du malheur que l'on a un Dieu, ou alors parce que l'on a peur du bonheur. Parce que, s'il n'y a pas de Dieu, ça veut dire que c'est en nous, et que l'on pourrait faire le bien tout le temps si on voulait. Donc quand on fait le mal c'est que l'on veut faire le mal, ou que l'on est obligé, ou peut-être que l'on a simplement besoin du mal pour nous rappeler ce qu'est le bien après tout.