Les douze dernières heures de ma vie... La première heure n'était pas mon heure. La deuxième de ma vie était bien trop belle. La troisième n'en était qu'une parcelle, quand la quatrième se noyait dans le bonheur. La cinquième
me posa un dilemme que de savoir que la sixième n'aurait plus de douceur, à en savoir que la septième ne serait plus aussi belle. La huitième heure, un courrier du facteur qui m'attriste de douleur m'annonçant que pour la neuvième, il ne me restait plus que trois heures. La dixième en inquiétait ceux qui m'aiment de m'en offrir des fleurs à ma onzième heure. Et quand vint la dernière heure pour vous dire que j'en suis mort de rire, que je suis encore là pour que vous puissiez me lire.